Soupe de haricots blancs
… endive et potiron.
Cette recette est inspirée par la tradition Napolitaine (Menesta ‘e scarole e fasule) facile, bien adaptée aux “jours de la merle”, très savoureuse et légère parce-que ça ne nécessite pas d’assaisonnement. Le potiron donne de la couleur et sa douceur unique contraste la légère note amère de l’endive.
Ingrédients (porr 8 portions):
haricots cannellini secs 500 g.
pommes de terre grosses 2
céleri une branche
carotte 1 grosse
ail 1 gousse
oignon 1 petite
chicorée endive 1 grande
potiron 700 g.
huile d’olive vierge extra 1 CS
sel et poivre blanc à votre goût
Préparation:
Je fais tremper les haricot dans l’eau froide pour 24 heures, j’égoutté et je rince. Il est déconseillé d’utiliser l’eau de trempage.
Je nettoie les pommes de terre, la carotte et le céleri que je mets dans un fait tout adapté avec les haricots, l’oignon, l’ail très hachés avec deux litres d’eau avec un néant de sel; je porte à cuisson à feu très doux pour 40 minutes ( ou jusqu’à ce que les haricots seront tendres).
Je nettoie la chicorée que je coupe grossièrement
J’enlève les légumes du bouillon et j’écrase les pommes de terre avec le céleri au mixer avec un peu de bouillon. Je réserve la carotte pour un autre usage.
Je délaye cette purée dans le fait tout,
j’ajoute la chicorée et je donne feu moyen pour 5 minutes.
Entretemps j’aurai bien lavé le potiron, coupé en tranches de 2 cm. parsemé d’huile, sel et poivre, fermé en papillote et passé au four à 200 ° pour 20 minutes.
Je sors du four le potiron
et j’en fais des boules dans sa pulpe avec l’ustensile pour le melon ou celui pour faire les boules de glace.
Je dresse une assiette fonde et j’y pose trois boules de potiron et je donne seulement un tour de moulin de poivre blanc.
Comme vous pouvez le voir je ne suis pas dans la cuisine de Barbie que j’ai à la maison, mais dans celle bien plus pratique du restaurant…
“poivre blanc à votre goût” Le problème c’est que les poivres blanc de supermarché ont plus de piquant que de goût. Enfin, je dis ça c’est surtout depuis que j’ai découvert les poivres rares dit aussi parfumés… ça change du tout au tout. Du poivre de Kampot à Madagascar en passant par l’Inde, il n’y a que l’embarras du choix.
Je suis tout à fait d’accord avec toi… perso j’utilise un poivre blanc de Malabar… je ne me suis pas lancée dans l’achat de plusieurs poivres blancs, mais je voudrais bien! 😉